SaintLouis-Marie Grignion de Montfort Séminaire International Saint Louis-Marie Grignion de Montfort - SAJM . 2 Le mot de Mgr Faure Chers amis et bienfaiteurs, Ce 10 février 2021, la pelouse du Séminaire, que borde la Sarthe, est couverte d’un blanc manteau de neige. Le 2 février, deux nouveaux séminaristes arrivés en septembre ont eu la joie de recevoir la soutane

Louis-Marie Grignion de Montfort Saint catholique prêtre, missionnaire apostolique et fondateur Naissance 31 janvier 1673Montfort-la-Caneprovince de Bretagne, actuellement Montfort-sur-Meu en Ille-et-Vilaine, Royaume de France Décès 28 avril 1716 à 43 ans Saint-Laurent-sur-Sèvreprovince du Poitou, actuellement dans la Vendée, Royaume de France Nationalité Français Ordre religieux Tiers-Ordre dominicain Vénéré à Basilique Saint-Louis-Marie Grignon de Montfort, Saint-Laurent-sur-Sèvre Béatification 22 janvier 1888 à Romepar Léon XIII Canonisation 20 juillet 1947 à Romepar Pie XII Fête 28 avril Louis-Marie Grignion de Montfort est un prêtre catholique français, né le 31 janvier 1673 à Montfort-la-Cane province de Bretagne et mort le 28 avril 1716 à Saint-Laurent-sur-Sèvre province du Poitou. Il est le fondateur de deux congrégations religieuses la Compagnie de Marie les Pères montfortains d'où seront issus les Frères de Saint-Gabriel et une congrégation féminine les Filles de la sagesse. Il est aussi le représentant majeur de la seconde génération de l'école française de spiritualité. Béatifié au XIXe siècle par Léon XIII, en 1888, il est canonisé au XXe siècle par Pie XII, en 1947. Liturgiquement, il est commémoré le 28 avril[1]. Biographie Maison natale de Louis-Marie à Montfort-sur-Meu. Deuxième d'une famille de dix-huit enfants, Louis Grignion de la Bacheleraie naît en Bretagne, en 1673, à Montfort-la-Cane aujourd'hui Montfort-sur-Meu en Ille-et-Vilaine qui n'existait pas en 1673. Peu de temps auparavant ses parents ont perdu leur premier fils, mort à cinq mois. Il devient donc l'aîné des seize autres, soit six frères et dix sœurs, mais six d’entre eux mourront en bas âge et deux autres n'atteindront pas leur majorité[2]. Son père, Jean-Baptiste, avocat au bailliage de Montfort, devient également notaire quand il part avec sa famille habiter dans une maison familiale à Iffendic. Comme son père et son grand-père, il est membre de la confrérie la Frairie blanche qui célèbre la naissance de la Vierge Marie. De son côté, sa mère lui voue un culte important depuis son enfance et s’efforce d’instruire ses enfants à la dévotion mariale. Ainsi, né dans un foyer chrétien, dès le lendemain de sa naissance ses parents le portent à l'église Saint-Jean pour le faire baptiser. Rapidement, on le met en nourrice chez une fermière des environs. Il gardera de la vie campagnarde l'amour de la nature et le goût de la solitude qui l’aideront au recueillement. Lorsqu'il a six ans, ses parents décident qu'il sera prêtre, comme ses trois oncles maternels. C'est son père, qu’il craint en partie, qui lui donne les premiers éléments d'instruction générale[3], tandis que sa mère, qu’il aime à consoler, s’occupe de son éducation religieuse, notamment en priant le chapelet pour se préserver des embûches de la vie. Puis il devient élève des jésuites à Rennes à partir de douze ans[4], avant d'aller se préparer au sacerdoce à Paris. Déjà très attaché à la Mère de Jésus, il rajoute Marie à son prénom d'origine lors de sa confirmation avant d'adjoindre à son nom son lieu de naissance quand il décide de quitter sa région en faisant vœu de pauvreté. Il rejoint Paris à pied en 1693 où deux ans plus tard il se forme au séminaire de Saint-Sulpice jusqu'en 1700, date à laquelle il est ordonné prêtre[5]. Il va désormais se consacrer à la prédication dans des missions rurales qui s'organisent alors dans l'Ouest et le Centre de la France. Il vit son premier ministère à Nantes au sein de la communauté Saint-Clément jusqu'en octobre 1701, puis part à Poitiers comme aumônier de l'hôpital général, vite apprécié par les pauvres et les plus fragiles. Montfort a beaucoup aimé soulager et fréquenter les plus modestes mais il a su également entretenir des amitiés spirituelles avec des gens plus aisés comme le marquis de Magnanne et les époux de la Garaye qui vont œuvrer charitablement en offrant leur château pour le soin des malades. À l’hôpital de Poitiers, qu’il tente d’améliorer charitablement, il regroupe des jeunes filles, la plupart pauvres et handicapées, désireuses d’aider les nécessiteux pour consolider leurs bonnes dispositions par les pratiques dévotionnelles. Afin de les conduire et d’aider la supérieure aveugle qu’il choisit comme responsable, il fait appel à deux femmes Marie-Louise Trichet et Catherine Brunet qu’il va encourager assez vite à devenir religieuses. La première d’entre elles y répond favorablement et c’est ainsi que Louis-Marie instaure en 1703 une congrégation féminine hospitalière sous l’invocation de la Sagesse du Verbe incarné qui sera officiellement approuvée en 1715 et qui étendra son activité à l'enseignement. À partir de cette date, Marie-Louise Trichet prendra la tête de la congrégation des Filles de la Sagesse à La Rochelle où Catherine Brunet viendra l’assister[6]. C'est dans cette ville, qu'il rédige son ouvrage le plus connu et le plus important le Traité de la Vraie dévotion à la Sainte Vierge. Confronté à des jalousies et des impasses administratives mais toujours porté par son zèle et sa ténacité, il quitte l’hôpital de Poitiers pour s’appliquer à quelques missions locales qui vont lui convenir tellement qu’il décide de partir à Rome demander au pape la possibilité de devenir missionnaire. Après un passage à la Sainte Maison de Lorette, le 6 juin 1706, il est reçu en audience par Clément XI espérant être envoyé à l’étranger, mais le pape lui demande de rester dans sa région avec le titre de missionnaire apostolique afin, entre autres, de combattre le jansénisme et le protestantisme. Il rentre en France, se rend d’abord à Notre-Dame des Ardilliers à Saumur où il a pris l’habitude d’aller prier les bonnes grâces de la Vierge Marie pas très loin de l’abbaye de Fontevraud où l’une de ses sœurs, Sylvie, a pris le voile. Qui plus est, c'est dans cette chapelle que la sœur aînée de Marie-Louise Trichet, Jeanne, a été délivrée d'une paralysie en 1697. Grignion de Monfort poursuit en se rendant au mont Saint-Michel afin de solliciter les forces de l'archange Michel. Il est accompagné de Mathurin, un homme qu’il a rencontré en 1705 dans une église de Poitiers et qui va le suivre lors de ses périples. Son habitude, avertir de l’arrivée de la mission en agitant une clochette Alerte, alerte, alerte, la mission est ouverte venez-y tous, mes bons amis. Venez gagner le paradis ! ». Commence alors l’apostolat des missions que Louis-Marie va accomplir jusqu'à sa mort porté par ses dispositions à prêcher et à instruire les bonnes œuvres. Deux choses vont l’aider dans son entreprise, la composition de cantiques qu’il prend plaisir à distribuer et à faire chanter, et son application à faire connaître le rosaire pour le diffuser largement. En dix ans, Louis-Marie Grignion de Monfort accomplit 72 missions majeures ou environ 200 si l’on compte tous ses déplacements, et cela dans une dizaine de diocèses, de Saint-Brieuc à La Rochelle et de Nantes à Rouen[7]. L’origine de ses deux ordres masculins remontent à son ordination sacerdotale à Paris en 1700. À ce moment-là, il a déjà le désir de réunir au sein d'une compagnie mariale des prêtres et des catéchistes dûment formés, engagés et fervents en faveur des plus modestes et des plus reculés. Son condisciple et ami de jeunesse, Claude Poullart des Places, le soutient dans son projet et deux prêtres lui répondent favorablement le pères René Mulot et Adrien Vatel qui resteront ses collaborateurs jusqu'à sa mort. La Compagnie de Marie voit le jour en 1705 mais les frères se scindent en deux directions la congrégation religieuse de missionnaires ruraux connue aussi comme celle des Pères montfortains », et la congrégation des Frères du Saint-Esprit qui va devenir les Frères de Saint-Gabriel au XIXe siècle, et qui se donne pour mission d'offrir une éducation chrétienne aux enfants et aux jeunes[8]. Lors d'une mission paroissiale, il meurt d'une pleurésie à 43 ans, épuisé par la fatigue et les pénitences, à Saint-Laurent-sur-Sèvre Vendée où son corps repose en la basilique. Son dernier sermon a pour thème la douceur de Jésus et ses derniers mots sont les suivants Allons, mes bons amis, allons en paradis. Quoi qu'on gagne en ces lieux, le paradis vaut mieux »[8]. Reconnaissance et canonisation Louis-Marie Grignion est béatifié le 22 janvier 1888 par Léon XIII et est canonisé le 20 juillet 1947 par Pie XII[9]. Sa fête est fixée au 28 avril d’après le Martyrologe romain[10]. Le titre de Docteur de l'Église est d'abord envisagé par le cardinal Mercier dans les années 1920. Une pétition en ce sens recueille plus de 300 signatures d'évêques. À cette époque, Grignion est pressenti pour être docteur de la médiation universelle de la Vierge Marie. Après le concile Vatican II, certains chrétiens consacrés ou non réclament toujours le titre de Docteur de l'Église pour Montfort mais dans une tout autre perspective en raison de l'œcuménisme la place donnée à Marie dans la dévotion catholique est un obstacle à l'œcuménisme avec les protestants. C'est pourquoi, la cause de doctorat est compromise en raison d'une décision de la Congrégation pour les causes des saints de 2001 approuvée, à l'époque, par la Congrégation pour la doctrine de la foi dirigée par le cardinal Ratzinger, et par le pape Jean-Paul II. La lettre du pape Jean-Paul II aux religieux et aux religieuses des familles montfortaines du 8 décembre 2003 montre que sa doctrine mariologique est en accord avec le concile Vatican II[11]. Écrits Les principales œuvres de Montfort sont l'Amour de la Sagesse éternelle ; le Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge ; le Secret de Marie ; la Lettre circulaire aux Amis de la Croix ; le Secret admirable du très saint Rosaire pour se convertir et se sauver ; la Prière embrasée ; les Cantiques. Les œuvres complètes du saint sont publiées en 1966 par les éditions du Seuil. L'Amour de la Sagesse Éternelle est une œuvre de jeunesse dont l'authenticité a été remise en question, sans fondement scientifique, par le père Bernard Guitteny, montfortain[12]. D’après lui, cet écrit serait dû à Charles Besnard, supérieur des Montfortains et des Filles de la Sagesse au milieu du XVIIIe siècle. Cette thèse va à l’encontre de toute la tradition montfortaine et elle a été démentie rigoureusement par ses confrères Montfortains, les pères Dorio-Marie Huot et Louis Pérouas, chercheur au CNRS[13]. Les cantiques populaires sont publiés par le père Fradet au début des années 1930. La première édition comporte une longue introduction d'une centaine de pages très intéressante. Dans les œuvres complètes, on ne trouve que les manuscrits des cantiques. Fradet, après une critique sévère, a inséré dans son ouvrage des cantiques transmis par la tradition. Le Traité de la vraie dévotion a probablement été écrit en 1712 à La Rochelle. Il a été égaré à la suite de la Révolution et retrouvé en 1842. Le Secret de Marie résume dans une lettre à une religieuse la doctrine du traité. C'est donc un écrit plus bref. Le Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge est l'ouvrage le plus important de Montfort[14]. Selon toute la tradition saint Augustin, saint Bernard, saint Bonaventure, saint Jean Damascène que résume Montfort, le salut passe par "elle" Elle est toute la raison de l'espérance des vrais enfants de Dieu ». C'est pourquoi, selon Louis-Marie Grignion, le chrétien a tout intérêt à s'abandonner complètement à l'amour de la Mère de Dieu, qui intercède sans cesse auprès de Jésus et du Père pour les hommes, et puisqu'elle est immaculée, sans péché, Dieu ne peut qu'accepter les demandes qui viennent de Marie ». L'Acte de consécration à Marie, de Louis-Marie Grignion de Montfort, est une prière souvent prononcée par ceux qui souhaitent s'en remettre à la Vierge Marie afin de mieux se relier à Jésus[15]. On s'y prépare par une période de trente ou trente-trois jours douze jours pour se vider de l'esprit du monde, sept jours pour se vider de ce qu'il y a de mauvais en soi, sept jours pour acquérir la connaissance de la Vierge Marie et sept jours pour acquérir la connaissance de Jésus-Christ, la Sagesse incarnée. Au terme de la préparation, on se confesse, on assiste à la sainte messe, et après la communion, on récite le texte de la consécration avec l'intention de se donner totalement à la Vierge Marie, spécialement la valeur surnaturelle des bonnes actions faites pour l'amour de Dieu et en état de grâce. Voici le cœur » de la consécration dont le texte est beaucoup plus long Je vous choisis, aujourd'hui, Ô Marie, En présence de toute la Cour Céleste, pour ma Mère et ma Reine. Je Vous livre et consacre, en qualité d'esclave, Mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs, Et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, Vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi Et de tout ce qui m'appartient, sans exception, Selon Votre bon plaisir, à la plus grande Gloire de Dieu, Dans le temps et l'éternité ». Il est à noter que certains traducteurs ont voulu changer cette consécration et remplacer le mot esclave » par soumission ». Aucun des anciens auteurs spirituels et des anciens commentateurs n'accepte ce genre de changement. Tout esclave est soumis, mais toute personne soumise n'est pas forcément esclave. C'est donc que les deux termes ne sont pas interchangeables. Montfort, dans le Traité de la vraie dévotion fait d'ailleurs toute une étude pour montrer que sa dévotion est le saint esclavage et non pas la simple servitude. Montfort a souhaité regrouper les esclaves de Marie dans une confrérie qui n'a vu le jour qu'en 1899 à Ottawa dans la paroisse Notre-Dame de Lourdes. Cette confrérie existe toujours sous le titre de Confrérie Marie Reine des Cœurs[16]. Jean-Paul II et la spiritualité de Louis-Marie Grignion de Montfort Lors d'une audience, le 13 octobre 2000, Jean-Paul II raconte comment son directeur spirituel lui a conseillé de méditer sur le Traité de la Vraie Dévotion à Marie, alors qu'il est séminariste clandestin et qu'il travaille à l'usine Solvay de Cracovie J'ai lu et relu plusieurs fois, avec un grand intérêt spirituel, ce précieux petit livre ascétique, dont la couverture bleue s'était tachée de soude. »[17]. D’après sa lettre apostolique, Rosarium Virginis Mariae[18], Totus Tuus, sa devise épiscopale et papale, lui a été inspirée par Louis-Marie Grignion de Montfort. Elle est extraite d’un passage d’une prière présente dans le Traité de la Vraie Dévotion à Marie Totus Tuus ego sum et omnia mea tua sunt. Accipio Te in mea omnia ! Je suis tout à toi, et tout ce que j'ai est à toi. Sois mon guide en tout ! »[19]. Dans son livre Entrez dans l’Espérance 1994[20], le pape explique le choix de cette devise Grâce à saint Louis-Marie Grignion de Montfort, j’ai compris que l’authentique dévotion à la Mère de Dieu est véritablement christocentrique, profondément enracinée dans le mystère trinitaire, et dans ceux de l’incarnation et de la rédemption ». Le 19 septembre 1996, Jean-Paul II se rend à Saint-Laurent-sur-Sèvre, pour se recueillir sur la tombe de Louis-Marie Grignion de Montfort. Hommages Différents lieux ou monuments perpétuent le souvenir de Louis-Marie Grignion de Montfort l'église Saint-Louis-Marie-Grignion-de-Montfort à Montfort-sur-Meu ; un musée retrace sa vie, à Saint-Laurent-sur-Sèvre ; un collège catholique, à Montfort-sur-Meu, porte son nom ; le célèbre hôpital Montfort d'Ottawa, capitale du Canada, porte son nom ; plusieurs écoles élémentaires catholiques portent son nom, à La Chèze 22210, à La Chevrolière 44118, à Thouaré-sur-Loire 44470 et à Ottawa ; une église San Luigi Grignion de Montfort, à Rome, porte son nom, ainsi que le titre cardinalice rattaché à cette église ; plusieurs rues portent son nom, à Montfort-sur-Meu, à Fouras 17450, à Cholet 49300 ; une chapelle et un monument, au Calvaire de Pontchâteau qu'il a fait remonter, lui sont dédiés ; la congrégation des frères de Saint Gabriel poursuit l'œuvre éducatrice montfortaine avec près de 100 établissements dans le monde[21]. Notes et références ↑ Martyrologe romain pour le 28 avril sancti Ludovici Mariae Grignion a Montfort ↑ Louis-Marie Clénet, Dix-huit enfants - Le Saint de la Vendée », chapitre premier, p. 27. ↑ Agnès Richomme ill. Robert Rigot, Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, Paris, Fleurus, coll. Belles Histoires et Belles Vies », 1955 ISBN 2-215-00576-9 ↑ De 1685 à 1692 à Rennes au collège Saint-Thomas Becket dirigé par les Jésuites ↑ Ordination - Vie du vénérable Louis-Marie Grignion de Monfort de l'abbé Pauvert, p. 78 ↑ Marie-Louise Trichet et les Filles de la Sagesse ↑ Frère Donatien-Marie, chapitre 3 À la conquête des âmes », p. 12. ↑ a et b Saint Louis-Marie Grignion de Montfort par amour de Marie », sur Radio Notre Dame, 28 avril 2016. ↑ Saint Louis-Marie Grignion de Montfort sur ↑ Saint Louis-Marie Grignion de Montfort », sur consulté le 27 avril 2021 ↑ Lettre aux familles montfortaines à l'occasion du 160 anniversaire de la publication du "Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge" de saint Louis-Marie Grignion de Montfort 13 janvier 2004 Jean Paul II », sur consulté le 30 décembre 2020 ↑ De l’inauthenticité d’un traité de Besnard attribué à Grignion de Montfort ↑ Écrits de Louis Pérouas ↑ Le fabuleux destin d’un livre d’amour, article du journal Famille Chrétienne ↑ 33 jours d’exercices spirituels pour l’Acte d’abandon à Jésus-Christ par Marie ↑ Historique de la confrérie Marie Reine des Cœurs associée à la Fraternité Saint Pie X. ↑ Audience de Jean-Paul II aux participants au 8e colloque international de mariologie », sur 13 octobre 2000. ↑ Jean-Paul II, Lettre apostolique Rosarium virginis mariae, 2002, », sur ↑ Louis-Marie Grignion de Montfort, Traité de la vraie dévotion à Marie, verset 233. ↑ Entrez dans l’Espérance, avec Vittorio Messori, 1994, Cf. p. 306, Rééd. Pocket, 2003, 331 pages, ISBN 2-266-14091-4. ↑ Annexes Émission de web TV Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, la voix qui montait jusqu'au ciel - Religion & Spiritualité Youtube Hors les Murs du 13/05/2016 - Saint Louis-Marie Grignion de Montfort - KTO TV Bibliographie Étienne Catta, Louis-Marie Grignion de Montfort et la Sagesse », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, t. 81, Prédication et théologie populaire au temps de Grignion de Montfort, no 3,‎ 1974, p. 615-633. lire en ligne Alexis Crosnier, Un grand semeur évangélique Saint Louis-Marie Grignion de Montfort 1673-1716, Toulouse, Apostolat de la prière, 1942, 86 p. ASIN B008TSFV1. Bernard Guitteny, Les successeurs de saint Louis-Marie Grignion de Montfort », Revue des Sciences Religieuses, t. 78, no 2,‎ 2004, p. 231-251. lire en ligne Bernard Guitteny, Le texte authentique du Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge » de saint Louis-Marie Grignion de Montfort », Nouvelle Revue théologique, t. 127, no 3,‎ 2005, p. 403-426 lire en ligne Louis Le Crom, Un apôtre marial, Saint Louis-Marie Grignion de Montfort 1673-1716, Pontchâteau, Librairie mariale, Calvaire Montfort, 1942, 479 p. Réédition en 2003 par les Éditions Clovis. Georges Rigault, Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, Les Traditions françaises, 1947. Mgr Alfred Ancel, La Vraie Dévotion à la Sainte Vierge quelques réflexions sur le traité de Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, Lyon, Prado, 1948 ASIN B003WVR8V8. Benedetta Papasogli, L'Homme venu du vent Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, Éditions Bellarmin, 1984, 416 p. ASIN B00J1L2ZO8. Louis-Marie Clénet, Grignion de Montfort Le Saint de la Vendée, Librairie académique Perrin, coll. Présence de L'histoire », 1988 ISBN 978-2-262-00528-3, BNF 34947043. René Laurentin, Petite vie de Louis-Marie Grignion de Montfort, Desclée de Brouwer, coll. Petite vie de- », 2005, 152 p. ISBN 978-2-220-03815-5 et 978-2-220-05664-7. 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Prier avec Marie – 17 / Louis-Marie Grignion de Montfort Louis-Marie Grignion de Montfort Je vous choisis, aujourd’hui, ô Marie, en présence de toute la Cour Céleste, pour ma Mère et ma Reine. Je vous livre et consacre, en toute soumission et amour, mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs, et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, vous laissant un entier et plein droit de disposer de moi et de tout ce qui m’appartient, sans exception, selon votre bon plaisir, à la plus grande Gloire de Dieu, dans le temps et l’éternité. Louis-Marie Grignion de Montfort, Consécration à Marie image Basilique Saint François de Sales – Notre-Dame de la Compassion, Thonon-les-Bains / Haute Savoie, France 2014

35160Montfort-sur-Meu. Dédiée à Saint Louis Marie Grignion et datant du XIXè siècle, elle est d'inspiration italienne avec son clocher en forme de campanile qui abrite la statue du Saint,
Le 31 mai, dernier jour du mois dédié à Marie, l'Église fête la Visitation, commémorant la visite de Marie à sa cousine Élisabeth. Mais la Vierge continue encore aujourd'hui à visiter ceux qui la prient et à faire pleuvoir des grâces sur ceux qui l'implorent. Lorsqu'une grâce est obtenue, comment remercier la Vierge ? Certains trouvent auprès de Marie une consolation à la douleur, à l’instar de Romina Power, star des années 80 ayant retrouvé grâce au rosaire la paix intérieure après le décès de sa fille Ylenia. D’autres l’invoquent pour surmonter une trop grande solitude, comme en témoigne Charles de Foucault dans ses écrits spirituels. La Vierge Marie peut également, par sa bienveillance infinie, aider une personne malade à surmonter la souffrance et la peur de la mort et à avancer sans crainte vers le Père céleste, comme elle l’a fait pour le petit Antonio, 8 grâce de la Vierge Marie est particulière car Marie est la première en tout la première à avoir accueilli le Christ, la première à avoir participé à la Passion, la première à être entrée dans l’éternité bienheureuse auprès de Dieu. La grâce de Marie est particulière en cela qu’elle est parfaite et première. Si Marie nous comble d’une grâce, comment la remercier à la hauteur de son amour pour nous ? 1Réciter le Magnificat Lors de la Visitation, lorsque Marie rend visite à sa cousine Elisabeth après l’Annonciation, la Vierge Marie prononce le cantique d’action de grâces du Magnificat Lc 1, 46-55. A ce propos, saint Louis-Marie Grignion de Montfort cite le commentaire de Jean Gerson La Très sainte Vierge Marie le récitait souvent elle-même, et particulièrement après la Sainte communion, pour action de grâces. A notre tour, récitons ce Cantique également appelé Cantique de Marie », pour rendre infiniment grâce à celle qui fut elle-même un parfait exemple de gratitude ». Mon âme exalte le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur ! Il s’est penché sur son humble servante ; désormais tous les âges me diront bienheureuse. Le Puissant fit pour moi des merveilles ; Saint est son nom ! Sa miséricorde s’étend d’âge en âge sur ceux qui le craignent. Déployant la force de son bras, il disperse les superbes. Il renverse les puissants de leurs trônes, il élève les humbles. Il comble de biens les affamés, renvoie les riches les mains vides. Il relève Israël son serviteur, il se souvient de son amour, de la promesse faite à nos pères, en faveur d’Abraham et sa descendance à jamais ».2Chanter son nom, maintenant et à jamaisOn ne compte plus le nombre de chants à Marie composés dans le monde entier. De Regarde l’étoile » à La première en chemin », en passant par Couronnée d’étoiles », les chants mariaux sont pour la plupart joyeux, réconfortants et doux, à son image. Les entonner dans la voiture, dans la cuisine ou même en travaillant, peut être une belle idée pour lui rendre grâce. Le chant Marie, témoin d’une espérance » est particulièrement adapté pour lui dire merci, merci d’être là, lumière de vie pour tous les hommes ». 3Porter une médaille de Marie qui défait les nœudsPour remercier Marie d’avoir été là pour nous, pourquoi ne pas porter une médaille de Marie qui défait les nœuds ? Marie qui défait les nœuds est une image de la Vierge Marie en train de défaire des nœuds dans l’église Saint-Pierre de Perlach, située à Augsbourg. Les nœuds représentent les problèmes qui nous semblent insolubles et que la Vierge défait un à un. 4Se rendre dans un sanctuaire marial Notre-Dame de Guadalupe au Mexique, Notre-Dame de Lourdes en France, Notre-Dame de Fatima au Portugal… Pas un pays au monde qui n’abrite pas au moins un sanctuaire dédié à la Vierge Marie. La France en compte près de Certains de ces hauts lieux de prière sont même devenus, par la force de leur rayonnement, des lieux de pèlerinages rassemblant des milliers de visiteurs chaque année. Pour remercier Marie, pourquoi ne pas marcher avec elle, pour elle et vers elle ? Comme l’a dit le Pape Jean-Paul II à Fatima Il y a … quelques lieux où les hommes ressentent d’une manière particulièrement vivante la présence de leur Mère. Parfois ces endroits rayonnent largement leur lumière, attirent les gens de loin. Leur rayonnement peut s’étendre à un diocèse, à une nation entière, voire à plusieurs nations et jusqu’à plusieurs continents. Tels sont les sanctuaires mariaux. 5Lui écrire une lettre Trouver de jolis mots et les écrire à Marie peut être une belle façon de lui rendre grâce, en particulier quand prier directement nous est difficile. Chaque mot écrit pour elle saura résonner dans les cieux et lui rendre infiniment grâce pour tous ses bienfaits accordés. Les lettres à Marie peuvent ensuite être déposées dans des boîtes aux lettres dans certains sanctuaires dédiés à Marie, comme cela est proposé à Lourdes. Si le déplacement est impossible, des facteurs » se proposent de la déposer pour vous. La lettre peut aussi tout simplement être déposée dans un coin prière personnel, ou même, sous son un coin prière dédié à MarieSi Marie est tant présente pour répondre à nos demandes, pourquoi ne pas lui offrir une place de choix à la maison ? Une petite caisse en bois, une icône de la Vierge, un rosaire et une statue mariale suffiront pour préparer un joli coin prière réservé à notre mère du Ciel. Ce coin à Marie » lui rendra grâce et décorera avec beaucoup de douceur une chambre ou un mur du salon. 7Réciter un ou plusieurs Je vous salue MariePour dire merci, prier reste une offrande universelle et immédiate. La prière la plus directe à Marie, l’Ave Maria ou le Je vous salue Marie, comporte en elle-même tout ce qu’on peut dire de plus parfait à Marie pour la remercier, comme l’explique Saint Louis Marie Grignion de Montfort, dans son Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge L’Ave Maria est la plus belle de toutes les prières après le Pater; c’est le plus parfait compliment que vous puissiez faire à Marie, puisque c’est le compliment que le Très-Haut lui envoya faire par un archange pour gagner son cœur; et il fut si puissant sur son cœur, par les charmes secrets dont il est plein, que Marie donna son consentement à l’Incarnation du Verbe, malgré sa profonde humilité. C’est par ce compliment aussi que vous gagnerez infailliblement son cœur, si vous le dites comme il faut. … 253. L’Ave Maria bien dit, c’est-à-dire avec attention, dévotion et modestie, est, selon les saints, l’ennemi du diable, qui le met en fuite, et le marteau qui l’écrase, la sanctification de l’âme, la joie des anges, la mélodie des prédestinés, le cantique du Nouveau Testament, le plaisir de Marie et la gloire de la Très Sainte Trinité. »8offrir un ex votoNotre-Dame du Pont, plusieurs siècles, il est de tradition dans l’Eglise d’offrir des ex voto en signe de profonde gratitude pour une grâce obtenue. Les plus anciens remontent au XVe siècle sous forme de petits objets façonnés en cire. Ce n’est qu’au XVIe siècle que les tableaux peints apparaissent, bien souvent en lien avec des naufrages évités. Les plaques de marbre clouées au mur des églises fleurissent à partir du XIXe siècle et tout au long du XXe. Une tradition toujours d’actualité dans de nombreux un prénom inspiré de MarieDans le cas d’une naissance grandement désirée, et pour laquelle vous avez ardemment prié la Vierge, pourquoi ne pas donner à votre enfant le prénom de la mère de Jésus, ou un de ses dérivés ? Marie, d’origine hébraïque et égyptienne, est un dérivé du prénom hébreu Miryam qui signifie goutte de mer ». Selon d’autres sources, il viendrait de l’égyptien ancien merit » signifiant aimée ». Une façon de rendre un bel hommage à la mère de aussi les sept paroles de la Vierge dans la Bible Quelquesdates de sa vie 1673 : Louis-Marie est né le 31 janvier 1673 à Montfort, dans une famille chrétienne nombreuse. Il est un bon élève du collège des jésuites à Rennes où un prêtre l’initie à la mission auprès des pauvres. Il sen

Camping le rouge gorge à 10' du Puy du à Saint-Laurent-sur-Sèvre94 emplacements sur 2ha18 € à 25 € par jour 2 pers / tente / voitureSitué dans le Haut bocage vendéen à 9 km du Célèbre parc du Puy du fou le camping le Rouge Gorgé classé 4 étoiles est un point idéal centré sur les 30 sites à découvrir aux alentours. Vous avez la possibilité de louer à la semaine ou au weekend…Situé à km de la Basilique Saint Louis-Marie Grignion de MontfortFavoriComparerL'étang du PuyCamping à Saint-Mars-la-Réorthe53 emplacements sur 4ha12 € à 15 € par jour 2 pers / tente / voitureFaites une pause au camping L'étang du Puy après une journée de folie au grand parc du puy du fou ! Nous vous réservons un accueil chaleureux et du calme pour vos soirées. Des hébergements atypiques vous attendent tipi, tentes Cabanon, Victoria,…Situé à 10 km de la Basilique Saint Louis-Marie Grignion de MontfortFavoriComparerCamping du Bois à Montaigu-Vendée6 emplacements sur € par jour 2 pers / tente / voitureBienvenue au Camping du Bois Noir, nous vous recevons où nous vivons, un accueil chaleureux et personnalisé, de la disponibilité pour vous orienter dans vos choix de visites, de découverte. Nous sommes situés près d'un bois de 20 ha, dans un…Situé à 33 km de la Basilique Saint Louis-Marie Grignion de MontfortFavoriComparerCamping du Lac de la ChausselièreCamping à Montaigu-Vendée96 emplacements sur € à 2150 € par jour 2 pers / tente / voitureSitué au cœur du bocage Vendéen à La Guyonnière, le Camping du Lac de la Chausselière vous offre un cadre authentique et ressourçant à seulement 25 minutes du Meilleur Parc au Monde du Puy du Fou. D'avril à fin octobre, nous vous accueillons…Situé à 27 km de la Basilique Saint Louis-Marie Grignion de MontfortFavoriComparerCamping Domaine de l'OiselièreCamping à Chauché61 emplacements sur 7ha14 € par jour 2 pers / tente / voitureNous avons le plaisir de vous accueillir toute l'année dans notre établissement 4 étoiles au coeur du Bocage Vendéen, à 35 minutes du Parc du Puy du Fou et moins d'1 heure des plages de la côte atlantique. Venez découvrir un site inédit de…Situé à 34 km de la Basilique Saint Louis-Marie Grignion de MontfortFavoriComparerCamping le serpolinCamping à Cléré-sur-Layon16 emplacements sur 4ha12 € à 15 € par jour 2 pers / tente / voitureBienvenue au camping le serpolin annonce par un particulier - Bienvenue au Serpolin, le camping est situé au cœur de la vallée de la Loire. Les gens disent "quand vous séjournez au camping Le Serpolin, vous ne voulez plus jamais partir".…Situé à 39 km de la Basilique Saint Louis-Marie Grignion de MontfortFavoriComparer

LouisMarie Grignion de Montfort . Je vous choisis, aujourd’hui, ô Marie, en présence de toute la Cour Céleste, pour ma Mère et ma Reine. Je vous livre et consacre, en toute soumission et amour, mon corps et mon âme, mes biens intérieurs et extérieurs, et la valeur même de mes bonnes actions passées, présentes et futures, vous laissant un entier et plein
Charles Guyard, édité par Manon Fossat 14h14, le 10 août 2021, modifié à 14h14, le 10 août 2021 Ils étaient plusieurs dizaines à rendre hommage ce mardi matin au prêtre Olivier Maire, tué lundi à Saint-Laurent-sur-Sèvre en Vendée. Une messe à l'image de la victime selon les fidèles présents, qui n'ont pas caché leur émotion et leur effroi après la mort de l'homme d'église. REPORTAGEEnviron 70 paroissiens ont rendu hommage au père Olivier Maire lors d'une messe mardi matin à Saint-Laurent-sur-Sèvre, en Vendée, au lendemain de sa mort et des aveux de son meurtrier. Les fidèles ont pu se recueillir dans la crypte de la basilique Saint Louis-Marie Grignion de Montfort pour une messe consacrée à la victime, morte à 60 ans. L'homme d'église a été tué dans la nuit de dimanche à lundi. Le suspect, qui était aussi le présumé incendiaire de la cathédrale de Nantes en juillet 2020, était hébergé par les pères montfortains, dans le cadre de son contrôle judiciaire, en attente de son procès."Il va nous manquer"L'émotion était forcément palpable ce mardi matin dans la crypte de Saint-Laurent-sur-Sèvre pour la cérémonie du jour dirigée par le père Paulin, recteur de la basilique. Parmi les personnes présentes pour honorer la mémoire du missionnaire, Marie, habitante d'une ville voisine. "C'était évident pour moi de venir prier pour lui. C'était une cérémonie toute simple, mais à l'image du père Olivier. Je pense qu'il a envie qu'on parle du message du père de Montfort la charité, l'ouverture et l'accueil", son côté, Odile peine à réaliser. "J'ai été prier et faire brûler un cierge. Je connaissais bien le père Olivier. J'ai travaillé 24 ans chez eux. Il va nous manquer, c'est certain. C'est un choc pour tout le monde", souffle-t-elle. D'autres hommages vont se poursuivre ce mardi soir au cours d'une veillée spéciale, mais également mercredi à la cathédrale de Luçon, en présence de l'évêque de Vendée.
LESTOMBEAUX _ St Louis Marie Grignion de Montfort (1673-1716) et la Bienheureuse Marie-Louise Trichet (1684-1759), fondateurs de la congrégation des Filles de la Sagesse. Dans son livre Entrez dans l’Espérance (1994), le pape Jean-Paul II a expliqué le choix de sa devise : « Grâce à saint Louis-Marie Grignion de Montfort, j’ai compris que l’authentique dévotion à la
Lundi 15 Août A la Basilique 9h30 Laudes 10h30 Messe 18h30 Messe A la Chapelle de la Sagesse 20h30 Veillée Mariale Procession vers la Basilique Avec Marie, en route pour la MISSION »
SaintLaurent-sur-Sèvre en Vendée, les Pays de la Loire. La basilique Saint Louis-Marie Grignions de Montfort. Je viens de voir qu'il faut modifier l'image, la netteté. J'ai pris la photo en faible lumière.
De 1859 à 1892 et de 1938 à 1949 Architectes Fraboulet et Laurentin Granit Cette basilique est élevée sur l’ancienne église paroissiale, du début du XIème siècle, également dédiée à Saint Laurent. Les travaux de démolition débutent à la fin 1888. La première pierre du nouvel édifice est posée le 30 septembre 1889. La crypte, l’abside, le transept et le clocher sont achevés en 1892. Grâce à la collecte de fonds, entreprise par le père Logeais, les travaux reprennent en 1938. La nef, réduite de deux travées par rapport au plan initial, est terminée en 1949. La statue de la façade centrale est réalisée par le sculpteur Fernand Dupré. L’édifice est consacré le 25 août 1963. Érigée au titre de basilique mineure, l’église est ainsi reconnue comme lieu de pélerinage. Pour en savoir plus sur la basilique Saint Laurent > Nef de la basilique > Bienheureux Montfort mourant sculpture de 1888 > Pierre tombale du Père de Montfort 1716 > Ciborium 1922 > L’Annonciation vitrail de 1940 et de 1950 à 1965 > Le couronnement de Marie par la Trinité vitrail entre 1950 et 1965 > Le martyre de St Laurent huile sur toile du 19ème siècle
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