Lahausse des prix est repartie de plus belle. C’est une nouvelle opération à peine voilée au mépris du pouvoir d’achat des franges démunies de la société algérienne, loin de toucher un salaire décent, et qui sont littéralement touchées de plein fouet par la nouvelle hausse des prix des produits de première nécessité ainsi que
Devises Par - 17 avril 2021 à 2211 Warning Use of undefined constant gSendtofriend - assumed 'gSendtofriend' this will throw an Error in a future version of PHP in /home/linfoc74/public_html/wp-content/themes/info_theme/ on line 65 Désormais, vous pouvez nous suivre sur Google Actualités. N’hésitez pas à vous abonner en cliquant ici. Les prix des produits alimentaires notamment les fruits et légumes continuent de flamber dans les marchés en ce début du mois de ramadan. D’habitude, les prix commencent à baisser quelques jours après le début du mois sacré. Aujourd’hui, nous avons constaté une nouvelle augmentation du prix des pommes de terre dans certaines régions », écrit, ce samedi 17 avril, l’Association de protection et d’orientation du consommateur et de son environnement Apoce. Selon elle, le kilo de pommes de terre était vendu entre 80 et 100 dinars ». Dans la soirée, l’association a posté une vidéo montrant les prix quelques fruits et légumes affichés, dans la journée, à Lakhdaria dans la wilaya de Bouira. Voici quelques exemples pommes de terre 75 dinars, petit-pois 150 dinars, tomates 160 dinars, haricot 450 dinars, haricot vert 350 dinars, aubergine 100 dinars, concombre 140 dinars, citron 250 dinars, fraise 350 dinars, pommes 650 dinars. Plus tôt, l’organisation avait publié les prix de quelques fruits et légumes au marché de gros de la même wilaya. Voici quelques exemples pommes de terre 65 dinars, oignon 50 dinars, tomates 140 dinars, courgettes 50 dinars, concombre 70 dinars, haricot vert 250 dinars, citron 200 dinars, bananes 150 dinars. Plus d'actualités
Toujoursdu côté des fruits, c’est carrément la débandade pour le chef de famille avec des pommes à 4,980 D/kilo, la pêche jaune à 4,350 D/kilo, l’abricot à 3,700 D/kilo, la prune rouge à 3,650 D ou les kiwis à 850 millimes la « ps » De mémoire des ménages à Annaba, jamais une telle envolée des prix de ces produits de première nécessité n'a été enregistrée. Le taux de l'augmentation se situe entre 3% et 5% pour les légumes secs, mais aussi des pâtes alimentaires, produits de base pour les familles algériennes, notamment celles aux faibles revenus. Ces produits, et tant d'autres, sont de plus en plus inaccessibles, voire hors de leur portée, surtout avec la continuelle dévaluation du dinar, à l'origine de la dégradation du pouvoir d'achat. Face à un tel contexte social et économique, les points de vente directe restent l'unique alternative pour faire face à la hausse des prix des légumes secs. Pour ce faire, la Coopérative des céréales et légumes secs Ccls d'Annaba est venue à la rescousse des consommateurs, en plafonnant les prix des ces produits de première nécessité, disponibles dans plusieurs points de vente. Une action visant, d'une part, à casser les prix sur le marché parallèle et à soutenir le pouvoir d'achat du citoyen d'autre part. Ainsi, à travers toutes les unités de la Ccls implantées sur le territoire de la wilaya d'Annaba et El Tarf, les prix des légumes secs de production locale, ont été plafonnés à 100 DA/kg de lentilles et à 120 DA/kg de pois chiches. Selon une source relevant de la Ccls d'Annaba, la quantité de légumes secs emmagasinée dans ses entrepôts est de l'ordre de 90,1583 q de lentilles et 58,41032 q de pois chiches. Selon la même source, des points de vente ont été ouverts au niveau d'El Hadjar, dans la wilaya d'Annaba et à Aïn Assel et Dréan dans la wilaya d'El Tarf. Rappelons que la démarche, à savoir l'ouverture des points de vente de légumes secs à des prix raisonnables, fait suite à l'annonce du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, par le biais de l'Office algérien interprofessionnel des céréales Oaic, de l'ouverture, à travers le territoire national, de points de vente de légumes secs à des prix raisonnables. Une décision intervenant, rappelons-le, à la suite de la hausse inexpliquée des prix des légumes secs, lentilles et pois chiches. Wahida BAHRI Wahida BAHRI &59663; 0000 23-09-2021 &59667; Share &59683; Facebook &59658; Twitter &59678; Google+ &59673; LinkedIn &59716; Info en continu 2138 22/09/2021 L'Algérie décide de la fermeture immédiate de son espace aérien au Maroc 2027 22/09/2021 Procès de Ghediri 7 ans de prison ferme requis 1831 22/09/2021 EHU Mustapha-Pacha bientôt un nouveau service des urgences médico-chirurgicales 1630 22/09/2021 Lamamra à CNN Nous ne soutenons aucune partie en Libye à l'exception du peuple libyen» 1430 22/09/2021 Décès d'Abdelkader Bensalah drapeau en berne pendant trois jours 1236 22/09/2021 Le Président Tebboune préside une réunion du Haut Conseil de Sécurité 1034 22/09/2021 Décès de l'ex-chef d'Etat et ancien président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah 2324 21/09/2021 Des avancées encourageantes pour les cancers de la prostate et du sein 2225 21/09/2021 L'Algérie enregistre 12 nouveaux records de température en août dernier 2121 21/09/2021 Elections locales signature de la Charte d'éthique par les partis politiques 2020 21/09/2021 Canada/élection Trudeau réélu mais toujours minoritaire 1929 21/09/2021 Birmanie Aung San Suu Ky jugée pour incitation aux troubles publics» 1828 21/09/2021 La crise des sous-marins menace la tenue d'un conseil UE/USA sur les technologies 1724 21/09/2021 JM Oran-2022 le gouvernement impulse une nouvelle dynamique aux chantiers des infrastructures sportives 1626 21/09/2021 Zones d'ombre plus de opérations engagées entre 2020 et 2021 1607 21/09/2021 Lamamra tient une série de rencontres avec ses homologues et de hauts responsables de l'Administration américaine 1527 21/09/2021 Foot / Qualif. Mondial-2022 4e journée Niger-Algérie avancé de trois heures et se jouera à 17h00 1507 21/09/2021 Premier ministre une nouvelle loi sur la transition énergétique en cours d'élaboration 1433 21/09/2021 Sud/rentrée scolaire 2021/2022 de nouvelles structures pour améliorer les conditions de scolarisation 1325 21/09/2021 LPP une convention pour lever les contraintes de financement au profit des bénéficiaires &59719;Prev &59718;Next &59660;Voir les archives 1/4 Edition PDF Toutes les anciennes éditions en PDF Sélectionnez Voir le PDF Galerie photos/vidéos &59660; Lamamra tient une série de réunions à New York Vidéo 1300 21-09-2021 Lamamra tient une série de réunions à New York &59660; Belabed donne le coup d'envoi de l'année scolaire Vidéo 1100 21-09-2021 Belabed donne le coup d'envoi de l'année scolaire &59660;

Lesprix des fruits et légumes en Algérie ont connu une forte hausse à quelques jours de la fête de Aid el-Adha. Le constat est d’autant plus perceptible que les étals des marchés de détail des fruits et légumes en Algérie sont bien achalandés. Si l’offre est supérieure à la demande, rien ne milite cependant pour un marché clément. En témoigne la mercuriale, pratiquement

Les prix des fruits et légumes ont enregistré une hausse considérable ces derniers jours. En se rendant aux marchés des fruits et légumes de leurs quartiers en cette fin de semaine, les ménagères qui espéreraient faire leur approvisionnement en légumes ont été sidérées par les prix affichés, sans parler de la qualité. Tout d’abord, le légume phare de la table algérienne, la pomme de terre, est cédé à pas moins de 80 dinars avec une qualité douteuse et une senteur de pesticide. Selon un marchand, il s’agit de pomme de terre qui était stockée. Cette hausse du coût du légume le plus consommé par les Algériens n’a pas laissé indifférents les chefs de ménages. Cette situation devra s’étaler jusqu’au mois de novembre, début de la récolte de l’arrière-saison. Selon un marchand de légumes, cette hausse est due à la période creuse de la production. L’essentiel de la consommation entre août et octobre provient de la production stockée entre mai et juillet. Celle-ci couvre la consommation jusqu’à l’arrivée sur le marché de la primeur de l’hiver. C’est donc la période la plus difficile de l’année, celle qui voit traditionnellement les prix flamber. Selon notre interlocuteur, la première récolte de la pomme de terre primeur est attendue pour le mois de novembre, alors que la pomme de terre de la réelle saison celle cultivée en été sera récoltée vers la fin du mois de décembre. Il y a aussi la pomme de terre extra primeur nouvelle récolte qui est relativement moins chère. Cette pomme de terre est cultivée notamment dans les zones côtières comme Mostaganem et Tipaza, entre autres. A Oran il n’y a pas de grandes superficies consacrées à cette pomme de terre», ajoute notre interlocuteur. Le prix relativement élevé de la pomme de terre a entraîné vers le haut tous les autres produits la tomate est autour de 140 dinars. Même l’oignon a dépassé le seuil des 50 dinars. Ce qui justifie en premier lieu cette flambée est le fait que la plupart des légumes exposés sur les étals sont hors saison. La tomate, le piment, le poivron, les haricots verts sont des produits de la serre», indiquent les commerçant. En l’absence d’une politique de régulation et de protection des consommateurs, les chefs de familles se retrouvent livrés à eux-mêmes. La courgette, coqueluche des couscous, a vu son prix de vente osciller, selon le calibre et la fraîcheur, entre 100 et 120 dinars le kilogramme. La laitue, salade verte, est cédée actuellement à 80 et 100 dinars, les carottes et les aubergines atteignent les 100 DA, pendant que les haricots verts tutoient les 160, voire 180 DA le kilo. La flambée a touché aussi les autres légumes, à l’instar du piment et du poivron 100 DA, le concombre 80 DA, le chou-fleur 130 DA. A cette facture salée s’ajoutent les prix des fruits dont la majorité est au-dessus des 250 DA. Le raisin, les pommes, les poires, étaient tous intouchables. Ils faisaient respectivement hier 300, 350 et 300 DA. L’augmentation des prix des fruits, qui est tout de même importante en Algérie, n’est pas aussi choquante pour les consommateurs. L’Algérien a pris maintenant l’habitude de se passer des fruits», a souligné amèrement une maman. Interrogés par nos soins au sujet de cette flambée, de nombreux commerçants ont mentionné que cette augmentation est justifiable. Lesconsommateurs ont été outrés de voir les nouveaux prix des fruits et légumes. Zoom sur les prix du marché D’autres légumes sont proposés à des prix jugés exorbitants. Il s’agit notamment des oignons dont le prix affiché est à 60 DA le kg. La courgette est commercialisée entre 120 et 140 DA. Quant aux concombres et la laitue, leur prix est fixé à 100 DA. Pour ce INSCRIS-TOI GRATUITEMENT ou S'IDENTIFIER INSCRIS-TOI GRATUITEMENT S'IDENTIFIER NOTIFICATIONS Toutes Les Notifications Avec la fonctionnalité de messagerie instantanée ForieConnect est maintenant en ligne, commencez à l'utiliser maintenant ! Apprendre Encore Plus POUR L'IMPORTATION POUR L'EXPORT LES ENTREPRISES NOS SOLUTIONS DES PRIX S'identifier Inscris-Toi Gratuitement Les Langues Français Anglais Espagnol Portugais Turc Russe Arabe Ma Page Gestion De L'entreprise Forie Connect Nouveau Centre De Demande Peuple Forie Se Déconnecter! Menu Complet Nos solutions Des Prix Demande De Devis Associations Corporatives Le contact Accueil Entreprises À l'entreprise 0 sélectionnée Sélectionner Toutes Les Entreprises INDUSTRIE ALIMENTAIRE LÉGUMES ET FRUITS ALGÉRIE FRUITS DE LEGUMES FRAIS ENTREPRISES Vous consultez des entreprises associées au mot clé Côtéfruits et légumes, ce n’est pas mieux. Si les prix des légumes de saison se maintiennent dans l’ensemble, celui de certains fruits est monté en flèche. « Le prix du kiwi a été Algérie – Le marché des fruits et légumes observe une nouvelle fois une flambée des prix qui met le citoyen dans une situation de doute et d’inconfort. Voici les détails juste en-dessous, ce 10 décembre 2021. Et c’est reparti pour un tour ! Au fait, la cherté de la vie exaspère au plus haut point les citoyens en Algérie qui se retrouvent à nouveau confrontés à une augmentation de prix, pas vraiment justifiée, des fruits et légumes. C’est du moins ce qu’a soutenu le média arabophone Ennahar dans sa précédente édition de cette réalité palpable. Chez les commerçants détaillants, les prix des légumes affichent d’importantes hausses. Il est devenu presque impossible de s’acquitter de ces aliments. Qui s’avère être pourtant essentiels dans les cuisines algériennes. À l’exemple du prix de la tomate qui atteint les 200 DA le kilogramme. Alors que son prix ne dépassait pas les 100 DA. En outre, le prix des navets et des carottes sur le marché varie entre 60 et 80 dinars. Tandis que le prix de la pomme de terre a atteint les 80 DA le kilogramme. Les haricots verts ont eux atteint les 150 DA. Les consommateurs ont été outrés de voir les nouveaux prix des fruits et légumes. Zoom sur les prix du marché D’autres légumes sont proposés à des prix jugés exorbitants. Il s’agit notamment des oignons dont le prix affiché est à 60 DA le kg. La courgette est commercialisée entre 120 et 140 DA. Quant aux concombres et la laitue, leur prix est fixé à 100 DA. Pour ce qui est du poivron, son prix s’élève à 100 DA. Les fèves oscillent entre 160 et 180 DA le fruits non plus n’ont pas été épargnés par cette hausse. Les oranges se vendent entre 120 et 140 DA. Pareil pour les mandarines dont le prix atteint les 200 DA le kilogramme. Les bananes n’en parlons pas. Elles sont cédées à 300 DA. Les dates varient entre 400 et 650 DA. Deglet Nour se commercialise entre 500 à 750 viandes blanches et rouges sont également hors de prix. Le poulet s’élève entre 420 et 450 DA. Alors que le prix d’un plateau d’œufs est vendu à 450 DA.
Algérie: les prix des fruits et légumes stagnent, mais ceux de la viande rouge s'envolent Algérie Focus. Monde. Tous Europe Monde. Monde. Moyen orient : Les États-Unis, Israël et six pays

Les prix des produits alimentaires ne cessent d’augmenter en Algérie. A quelques semaines du mois de Ramadan et après l’augmentation du prix des fruits et légumes et du poulet, c’est au tour des prix de la viande rouge de s’enflammer. En effet, au cours de la semaine écoulée, le prix du kilogramme de viande bovine a augmenté de 400 DA tandis que celui de l’agneau a gagné 300 DA, a indiqué, lundi 31 janvier, l’Association de protection du consommateur Apoce. Lire aussi Pénuries et hausse des prix une problématique complexe Ce mardi 1er février, le prix affiché du kilogramme de mouton dans une boucherie de Chéraga dans l’ouest d’Alger est de 1600 DA. Pour ce qui est du prix du kilogramme de la viande bovine, il faut compter pas moins de 1900 DA pour la viande hachée, et 2200 DA pour un kilogramme d’entre-côtes. Une augmentation jugée inquiétante » par Mustapha Zebdi, président de l’association de protection du consommateur. Nous avons constaté une hausse du prix de la viande. C’est un constat qui est inquiétant », a-t-il dit dans une déclaration à TSA. Lire aussi Inflation, hausse des prix, dinar la Banque d’Algérie dévoile des chiffres alarmants Pour M. Zebdi, cette hausse des prix est d’autant plus inquiétante à l’approche du mois de Ramadan. Nous sommes à quelques semaines du mois de ramadan. La demande sur la viande rouge atteindra son maximum à cette période de l’année ». Une fois encore, les petites bourses seront mises à rudes épreuves », prévient-il. Les raisons d’une flambée Mohamed Taher Ramram, président de la Fédération nationale des producteurs de viande rouge, propos repris par la page de l’Apoce, affirme que cette augmentation se poursuivra les deux prochains mois ». Pour lui, elle est liée à la hausse des prix sur le marché de gros. Il affirme que le prix de gros du kilogramme de viande de mouton est passé de Da à Da tandis que celui de la viande de veau vendu auparavant à DA est cédé à DA. M. Ramram justifie cette hausse du prix sur le marché de gros, entre autres, par le coût élevé des prix du fourrage. Un aliment utilisé par les éleveurs qui a atteint les 7000 DA et qui n’est pas toujours disponible », selon lui. M. Zebdi estime qu’ »il faut vérifier si les arguments avancés sont fiables au bien s’il s’agit d’arguments utilisés uniquement pour justifier une hausse injustifiable ». Pour le président de l’Apoce, s’il y a des frais supplémentaires, il faudrait qu’ils soient proportionnels à la hausse des prix pour le consommateur final » Nous observons qu’il y a une disproportionnalité entre les coûts supplémentaires et le prix de vente chez le consommateur », a-t-il déploré. Comment freiner cette flambée? Va-t-elle se poursuivre? Nous avons appris qu’il y avait des autorisations d’importation de veaux pour abattage ou engraissement. Nous souhaitons qu’il y ait une régulation du marché de la viande pour, au moins, stabiliser cette hausse afin qu’elle n’atteigne pas des niveaux supérieurs. Nous souhaitons que les professionnels de la filière, les opérateurs économiques ainsi que les ministères de l’Agriculture et du Commerce interviennent et puissent répondre à cette défaillance », a lancé M. Zebdi. Les derniers articles

Lespoir de voir les prix des légumes et fruits se stabiliser dans les marchés n’est pas pour bientôt. Si la marchandise existe en quantité ou même en qualité, quoique parfois moyenne, les prix actuels donnent encore des sueurs froides au client. Un passage en revue des prix pratiqués dans les supermarchés, puis ceux homologués et L’article Fruits, légumes,

ALGER – Les prix des fruits et légumes frais, qui connaissent actuellement une nette hausse, vont bientôt revenir à leur “situation d’équilibre” dès la mise sur le marché des premières récoltes saisonnières, a assuré lundi un responsable au ministère de l’Agriculture. “Actuellement, on est dans une période d’arrière-saison soudure où… Source New feed1 Prix des fruits et légumes retour bientôt à la situation d'équilibre

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